• Mon parcours

    Je me présente : je m’appelle Maxime Bertiaux, je suis principalement auteur-réalisateur. Je suis diplômé de l’INRACI en techniques cinématographiques.

    Il y a un commencement à tout, j’ai travaillé durant et après mes études, sur des tournages.

    Animé d’une véritable passion pour la direction photo, je suis l’heureux propriétaire d’une ARRI ALEXA. Avec cette caméra, j’apporte mon concours à des projets indépendants. Je suis aussi photographe et vidéaste à mes heures. Vous l’aurez compris, je suis dans l’image.

    Durant les tournages de plusieurs longs-métrages sur lesquels j’ai travaillé, un feu couvait en moi depuis toujours : celui de la réalisation. En 2019, je passe à l’action et me lance dans l’écriture et la réalisation de mon premier court-métrage indépendant « Mash Up » (Prix du meilleur film au Liverpool Underground Festival). Puis s’en est suivi « Le Dernier Nerf », pour lequel j’ai reçu l’aide du Théâtre de la Fédération Wallonie Bruxelles. Plus récemment, je viens d’achever « Up Above My Head ». 

    Qui suis-je ?

    S’il fallait commencer par un « Il était une fois » … un petit garçon naufragé du monde de l’imaginaire qui passait son temps à se raconter des histoires à lui-même, bercé par la lumière de l’aube qui se dessinait entre les arbres de son jardin, comme un jeu d’ombre et de clarté sur un écran. Son imaginaire s’est construit sur des images étranges, venues d’un autre temps. Il était alors fasciné par les ombres surannées des films muets des années 20 qui se mouvaient sur l’écran, par ces couleurs pastel des années 40 ou même par la vigueur et la force d’un Terrence Malick ou d’un Michael Cimino des années 70.

    Le petit garçon a grandi… Une question me revenait sans cesse : tout cela a-t-il vraiment existé ? Ces images du passé, qui m’avaient forgé, me semblaient trop irréelles par rapport à la réalité que je connaissais. Ce questionnement ouvrit en moi ce que je qualifiais de jeu de cache-cache avec le temps, qui est devenu un jeu de cache-cache avec la réalité nourrissant mon inspiration. Nous avons tous notre histoire personnelle avec ce grand tour de magie qu’est le cinéma et la mienne, est celle d’une réalité qui se déforme et qui se métamorphose, je pourrais en parler pendant des heures. 

    Ma démarche

    Je me suis promis de faire des films, en transposant les émotions de ma jeune cinéphilie. Pour ainsi mettre en exergue des questionnements que j’avais sur moi-même et ma vision de la réalité que je tends à rendre singulière.

    Mes deux premiers courts-métrages, ont été la première phase de mon apprentissage de réalisateur. Ce jeu de cache-cache avec le temps a guidé mes intentions, mon rythme et mon travail de montage. Dans ma démarche, il n’y a pas de choix standardisé pour l’image, j’ai fait des essais artisanaux dans mes films qui vont du 16mm archaïque à une image numérique qui transpire les couleurs de la nuit, mise en valeur par une photographie pleine de petites astuces et un montage qui expérimente.

    Par ailleurs ce qui m’a aussi guidé jusqu’ici, c’est le jeu des contraintes : savoir mettre à profit ses possibilités et ses opportunités, déterminer ses points de forces et de faiblesses, afin de réaliser l’équation des bons choix, en cohérence avec un faible budget. Tout cela dans le but d’appréhender une forme de complexité, qui jusqu’ici m’a imposé de garder les mêmes idées pendant des productions qui s’étalaient sur deux ans. Et cela me convainc que c’est le meilleur exercice pour éprouver mes propos : avoir un film qui se modifie durant de longues périodes mais dont les intentions perdurent. 

    Mise en scène

    En ce qui concerne la mise en scène de mes trois réalisations :

    -Mash Up (avec Jean Schatz, Céline Beutels) ;

    -Le Dernier Nerf (avec le Collectif Ulcère : Hélène Philippe, Geoffrey Tiquet, Nina Eeklaer) ;

    -Up Above My Head (avec Léa Dedeurwaerder, Barthélémy Huet) ;

    sur celles-ci, j’ai travaillé avec des comédiens d’horizons différents et avec des démarches différentes. Ça va de l’acteur non professionnel qui joue son propre rôle, à Léa qui enseigne l’improvisation ou encore, le Collectif « Ulcère » issu du Conservatoire de Bruxelles.

    Avec ces diverses expériences, j’en ai déduit une méthode de mise en scène qui me convient et qui me met dans de bonnes conditions. J’aime l’idée que l’acteur est un artiste qui doit s’approprier et adapter à sa convenance son personnage. Ce qui implique, d’écrire des rôles profonds mais adaptables en fonction de qui l’incarne ; c’est un aspect de mon travail que je tends à perfectionner. J’aime cette idée de ne pas s’enfermer dans un rôle tel qu’on l’a imaginé, mais d’ouvrir le champ des possibles dans une démarche collaborative avec le comédien. Pour autant mon style nécessite des « gueules » pour des rôles plus silencieux et je ne rechine pas d’aller vers cette forme d’authenticité bien au contraire.

    Le Dernier Nerf, 2023, 35min

    Une adaptation d’un projet théâtral d’Hélène Philippe. L’idée derrière ce film est de tracer la cartographie du « voyage intérieur », allant du rêve à la paranoïa.

    Hélène répète une pièce de théâtre loufoque, dans laquelle elle entre en dialogue avec son ulcère, l’ulcère lui-même étant interprété par une comédienne derrière un rideau. Ce dialogue intérieur sur scène ouvre la boîte de pandore, Hélène se lance dans un long périple intérieur voyageant d’un songe à l’autre sur sa vie, sa seule prise avec le présent : la répétition de la pièce. Dans ce périple intérieur, le film nous présente plusieurs réalités qui chantent ensemble de manière polyphonique. A l’instar de la musique d’un monde intérieur qui se raconte à lui-même, jusqu’à ne plus savoir si la vie est un rêve ou si les rêves mis bout à bout, forment sa vie ? Mais Hélène reviendra-elle de ce voyage ?

    Up Above My Head, 2024, 30min

    C’est l’histoire d’une rencontre entre un garçon qui a perdu son ombre et d’une fille perdue autant dans sa vie que dans la ville. Ils décident de partir ensemble à la recherche de leurs chemins.

    Bart est un jeune en errance avec plein d’idées dans la tête, Il a ses petites manies et des idées bien précises sur tout. Un jour, il croise le chemin de Léa, une étudiante paumée dans Bruxelles la nuit, qui a raté son dernier train. En attendant le matin, Léa pourrait aller à une fête où elle est invitée, mais elle tombe sous le charme de Bart, après plusieurs longues discussions où ils refont le monde à deux.  Léa se sent en sécurité avec lui, elle prend la décision de cheminer le long des rues, en sa compagnie, jusqu’au matin. Par hasard, Léa recroise ses amis dans un night shop. Ils leur proposent de retourner à la fête avec eux, mais Bart ne semble pas le bienvenu. Léa est alors dans l’hésitation de le suivre ou de rester avec ses amis.

    Mash Up, 2022, 23min

    Est une interprétation des fleurs du mal, ramenée à notre époque. Il s’agit d’un projet semi-expérimental, nous amenant au bout de la nuit en compagnie du fantôme de Baudelaire.

    Il est minuit passé, Céline vient de rater son dernier train. Bloquée dans un Bruxelles brumeux, sombre, elle tente de trouver un taxi sans succès. Elle marche alors dans des quartiers vides et glauques. Mais très vite elle se sent suivie, elle essaye de semer une silhouette inquiétante qui en accélérant, finit par la rattraper. Il s’agit d’un jeune homme juste un peu étrange. Il voulait entrer en contact avec elle, mais d’une manière maladroite. La jeune femme va passer toute la nuit dans cette ville vide et dans une ambiance baudelairienne, avec ce personnage aux attitudes qui deviennent de plus en plus inexplicables.

    Futurs Projets

    « Inside The Box » (dossier sur demande)

    Il est compliqué de mettre une image sur le psychisme humain.

    Dans ce huis clos explosif et déjanté, Hélène, une avocate réputée et star de son cabinet, a bâti sa réussite en ayant tout contrôle sur sa vie. Pourtant elle traverse une phase à vide. A quoi bon cette course à l’argent et au carriérisme? Alors que les petites choses simples, lui apportent autant de plénitude.

    Imaginez-vous à sa place, vous quittez votre job, vous plaquez absolument tout pour une petite vie sans vague, sans tracas ; au programme : relaxation et « Netflix and chill ».

    Mais soudain, 7 colocataires s’invitent dans votre intimité : vos dieux, source de toute satisfaction, mais aussi vos démons, ayant toute emprise sur vous… Qui sont-ils? Des substances secrétées par votre cerveau.

    Hélène a fait ce choix, vivre dans sa boîte et s’enfermer des jours durant, face à la télé, face à elle-même. Tels Blanche-Neige et ses sept nains, elle est accompagnée par l’ange Dopamine, le saint GABA, le tout-puissant Glutamate, sans oublier tous les autres, …

    Si au début, la colonie fonctionne en autarcie sous le plan du grand architecte Sérotonine, très vite les passions des uns et des autres dégénèrent. Tous sont en concurrence pour devenir le meilleur ami d’Hélène, mais leurs désirs d’exclusivité provoquent la perte de contrôle de sa psyché. Un seul pourra régner en maître.

    Hélène dépassée par ces démons, admettra-t-elle qu’elle a perdu le contrôle de sa vie, au risque de se détruire elle-même?

    Direction Photo

    Commandes Vidéo

    Contact

    Maxime Bertiaux

    bertiaux.maxime@outlook.com

    https://www.instagram.com/maximebertiaux

  • Mon parcours

    Je me présente : je m’appelle Maxime Bertiaux, je suis principalement auteur-réalisateur. Je suis diplômé de l’INRACI en techniques cinématographiques.

    Il y a un commencement à tout, j’ai travaillé durant et après mes études, sur des tournages.

    Animé d’une véritable passion pour la direction photo, je suis l’heureux propriétaire d’une ARRI ALEXA. Avec cette caméra, j’apporte mon concours à des projets indépendants. Je suis aussi photographe et vidéaste à mes heures. Vous l’aurez compris, je suis dans l’image.

    Durant les tournages de plusieurs longs-métrages sur lesquels j’ai travaillé, un feu couvait en moi depuis toujours : celui de la réalisation. En 2019, je passe à l’action et me lance dans l’écriture et la réalisation de mon premier court-métrage indépendant « Mash Up » (Prix du meilleur film au Liverpool Underground Festival). Puis s’en est suivi « Le Dernier Nerf », pour lequel j’ai reçu l’aide du Théâtre de la Fédération Wallonie Bruxelles. Plus récemment, je viens d’achever « Up Above My Head ». 

    Qui suis-je ?

    S’il fallait commencer par un « Il était une fois » … un petit garçon naufragé du monde de l’imaginaire qui passait son temps à se raconter des histoires à lui-même, bercé par la lumière de l’aube qui se dessinait entre les arbres de son jardin, comme un jeu d’ombre et de clarté sur un écran. Son imaginaire s’est construit sur des images étranges, venues d’un autre temps. Il était alors fasciné par les ombres surannées des films muets des années 20 qui se mouvaient sur l’écran, par ces couleurs pastel des années 40 ou même par la vigueur et la force d’un Terrence Malick ou d’un Michael Cimino des années 70.

    Le petit garçon a grandi… Une question me revenait sans cesse : tout cela a-t-il vraiment existé ? Ces images du passé, qui m’avaient forgé, me semblaient trop irréelles par rapport à la réalité que je connaissais. Ce questionnement ouvrit en moi ce que je qualifiais de jeu de cache-cache avec le temps, qui est devenu un jeu de cache-cache avec la réalité nourrissant mon inspiration. Nous avons tous notre histoire personnelle avec ce grand tour de magie qu’est le cinéma et la mienne, est celle d’une réalité qui se déforme et qui se métamorphose, je pourrais en parler pendant des heures. 

    Ma démarche

    Je me suis promis de faire des films, en transposant les émotions de ma jeune cinéphilie. Pour ainsi mettre en exergue des questionnements que j’avais sur moi-même et ma vision de la réalité que je tends à rendre singulière.

    Mes deux premiers courts-métrages, ont été la première phase de mon apprentissage de réalisateur. Ce jeu de cache-cache avec le temps a guidé mes intentions, mon rythme et mon travail de montage. Dans ma démarche, il n’y a pas de choix standardisé pour l’image, j’ai fait des essais artisanaux dans mes films qui vont du 16mm archaïque à une image numérique qui transpire les couleurs de la nuit, mise en valeur par une photographie pleine de petites astuces et un montage qui expérimente.

    Par ailleurs ce qui m’a aussi guidé jusqu’ici, c’est le jeu des contraintes : savoir mettre à profit ses possibilités et ses opportunités, déterminer ses points de forces et de faiblesses, afin de réaliser l’équation des bons choix, en cohérence avec un faible budget. Tout cela dans le but d’appréhender une forme de complexité, qui jusqu’ici m’a imposé de garder les mêmes idées pendant des productions qui s’étalaient sur deux ans. Et cela me convainc que c’est le meilleur exercice pour éprouver mes propos : avoir un film qui se modifie durant de longues périodes mais dont les intentions perdurent. 

    Mise en scène

    En ce qui concerne la mise en scène de mes trois réalisations :

    -Mash Up (avec Jean Schatz, Céline Beutels) ;

    -Le Dernier Nerf (avec le Collectif Ulcère : Hélène Philippe, Geoffrey Tiquet, Nina Eeklaer) ;

    -Up Above My Head (avec Léa Dedeurwaerder, Barthélémy Huet) ;

    sur celles-ci, j’ai travaillé avec des comédiens d’horizons différents et avec des démarches différentes. Ça va de l’acteur non professionnel qui joue son propre rôle, à Léa qui enseigne l’improvisation ou encore, le Collectif « Ulcère » issu du Conservatoire de Bruxelles.

    Avec ces diverses expériences, j’en ai déduit une méthode de mise en scène qui me convient et qui me met dans de bonnes conditions. J’aime l’idée que l’acteur est un artiste qui doit s’approprier et adapter à sa convenance son personnage. Ce qui implique, d’écrire des rôles profonds mais adaptables en fonction de qui l’incarne ; c’est un aspect de mon travail que je tends à perfectionner. J’aime cette idée de ne pas s’enfermer dans un rôle tel qu’on l’a imaginé, mais d’ouvrir le champ des possibles dans une démarche collaborative avec le comédien. Pour autant mon style nécessite des « gueules » pour des rôles plus silencieux et je ne rechine pas d’aller vers cette forme d’authenticité bien au contraire.

    Le Dernier Nerf, 2023, 35min

    Une adaptation d’un projet théâtral d’Hélène Philippe. L’idée derrière ce film est de tracer la cartographie du « voyage intérieur », allant du rêve à la paranoïa.

    Hélène répète une pièce de théâtre loufoque, dans laquelle elle entre en dialogue avec son ulcère, l’ulcère lui-même étant interprété par une comédienne derrière un rideau. Ce dialogue intérieur sur scène ouvre la boîte de pandore, Hélène se lance dans un long périple intérieur voyageant d’un songe à l’autre sur sa vie, sa seule prise avec le présent : la répétition de la pièce. Dans ce périple intérieur, le film nous présente plusieurs réalités qui chantent ensemble de manière polyphonique. A l’instar de la musique d’un monde intérieur qui se raconte à lui-même, jusqu’à ne plus savoir si la vie est un rêve ou si les rêves mis bout à bout, forment sa vie ? Mais Hélène reviendra-elle de ce voyage ?

    Up Above My Head, 2024, 30min

    C’est l’histoire d’une rencontre entre un garçon qui a perdu son ombre et d’une fille perdue autant dans sa vie que dans la ville. Ils décident de partir ensemble à la recherche de leurs chemins.

    Bart est un jeune en errance avec plein d’idées dans la tête, Il a ses petites manies et des idées bien précises sur tout. Un jour, il croise le chemin de Léa, une étudiante paumée dans Bruxelles la nuit, qui a raté son dernier train. En attendant le matin, Léa pourrait aller à une fête où elle est invitée, mais elle tombe sous le charme de Bart, après plusieurs longues discussions où ils refont le monde à deux.  Léa se sent en sécurité avec lui, elle prend la décision de cheminer le long des rues, en sa compagnie, jusqu’au matin. Par hasard, Léa recroise ses amis dans un night shop. Ils leur proposent de retourner à la fête avec eux, mais Bart ne semble pas le bienvenu. Léa est alors dans l’hésitation de le suivre ou de rester avec ses amis.

    Mash Up, 2022, 23min

    Est une interprétation des fleurs du mal, ramenée à notre époque. Il s’agit d’un projet semi-expérimental, nous amenant au bout de la nuit en compagnie du fantôme de Baudelaire.

    Il est minuit passé, Céline vient de rater son dernier train. Bloquée dans un Bruxelles brumeux, sombre, elle tente de trouver un taxi sans succès. Elle marche alors dans des quartiers vides et glauques. Mais très vite elle se sent suivie, elle essaye de semer une silhouette inquiétante qui en accélérant, finit par la rattraper. Il s’agit d’un jeune homme juste un peu étrange. Il voulait entrer en contact avec elle, mais d’une manière maladroite. La jeune femme va passer toute la nuit dans cette ville vide et dans une ambiance baudelairienne, avec ce personnage aux attitudes qui deviennent de plus en plus inexplicables.

    Futurs Projets

    « Inside The Box » (dossier sur demande)

    Il est compliqué de mettre une image sur le psychisme humain.

    Dans ce huis clos explosif et déjanté, Hélène, une avocate réputée et star de son cabinet, a bâti sa réussite en ayant tout contrôle sur sa vie. Pourtant elle traverse une phase à vide. A quoi bon cette course à l’argent et au carriérisme? Alors que les petites choses simples, lui apportent autant de plénitude.

    Imaginez-vous à sa place, vous quittez votre job, vous plaquez absolument tout pour une petite vie sans vague, sans tracas ; au programme : relaxation et « Netflix and chill ».

    Mais soudain, 7 colocataires s’invitent dans votre intimité : vos dieux, source de toute satisfaction, mais aussi vos démons, ayant toute emprise sur vous… Qui sont-ils? Des substances secrétées par votre cerveau.

    Hélène a fait ce choix, vivre dans sa boîte et s’enfermer des jours durant, face à la télé, face à elle-même. Tels Blanche-Neige et ses sept nains, elle est accompagnée par l’ange Dopamine, le saint GABA, le tout-puissant Glutamate, sans oublier tous les autres, …

    Si au début, la colonie fonctionne en autarcie sous le plan du grand architecte Sérotonine, très vite les passions des uns et des autres dégénèrent. Tous sont en concurrence pour devenir le meilleur ami d’Hélène, mais leurs désirs d’exclusivité provoquent la perte de contrôle de sa psyché. Un seul pourra régner en maître.

    Hélène dépassée par ces démons, admettra-t-elle qu’elle a perdu le contrôle de sa vie, au risque de se détruire elle-même?

    Direction Photo

    Commandes Vidéo

    Contact

    Maxime Bertiaux

    bertiaux.maxime@outlook.com

    https://www.instagram.com/maximebertiaux

  • Mon parcours

    Je me présente : je m’appelle Maxime Bertiaux, je suis principalement auteur-réalisateur. Je suis diplômé de l’INRACI en techniques cinématographiques.

    Il y a un commencement à tout, j’ai travaillé durant et après mes études, sur des tournages.

    Animé d’une véritable passion pour la direction photo, je suis l’heureux propriétaire d’une ARRI ALEXA. Avec cette caméra, j’apporte mon concours à des projets indépendants. Je suis aussi photographe et vidéaste à mes heures. Vous l’aurez compris, je suis dans l’image.

    Durant les tournages de plusieurs longs-métrages sur lesquels j’ai travaillé, un feu couvait en moi depuis toujours : celui de la réalisation. En 2019, je passe à l’action et me lance dans l’écriture et la réalisation de mon premier court-métrage indépendant « Mash Up » (Prix du meilleur film au Liverpool Underground Festival). Puis s’en est suivi « Le Dernier Nerf », pour lequel j’ai reçu l’aide du Théâtre de la Fédération Wallonie Bruxelles. Plus récemment, je viens d’achever « Up Above My Head ». 

    Qui suis-je ?

    S’il fallait commencer par un « Il était une fois » … un petit garçon naufragé du monde de l’imaginaire qui passait son temps à se raconter des histoires à lui-même, bercé par la lumière de l’aube qui se dessinait entre les arbres de son jardin, comme un jeu d’ombre et de clarté sur un écran. Son imaginaire s’est construit sur des images étranges, venues d’un autre temps. Il était alors fasciné par les ombres surannées des films muets des années 20 qui se mouvaient sur l’écran, par ces couleurs pastel des années 40 ou même par la vigueur et la force d’un Terrence Malick ou d’un Michael Cimino des années 70.

    Le petit garçon a grandi… Une question me revenait sans cesse : tout cela a-t-il vraiment existé ? Ces images du passé, qui m’avaient forgé, me semblaient trop irréelles par rapport à la réalité que je connaissais. Ce questionnement ouvrit en moi ce que je qualifiais de jeu de cache-cache avec le temps, qui est devenu un jeu de cache-cache avec la réalité nourrissant mon inspiration. Nous avons tous notre histoire personnelle avec ce grand tour de magie qu’est le cinéma et la mienne, est celle d’une réalité qui se déforme et qui se métamorphose, je pourrais en parler pendant des heures. 

    Ma démarche

    Je me suis promis de faire des films, en transposant les émotions de ma jeune cinéphilie. Pour ainsi mettre en exergue des questionnements que j’avais sur moi-même et ma vision de la réalité que je tends à rendre singulière.

    Mes deux premiers courts-métrages, ont été la première phase de mon apprentissage de réalisateur. Ce jeu de cache-cache avec le temps a guidé mes intentions, mon rythme et mon travail de montage. Dans ma démarche, il n’y a pas de choix standardisé pour l’image, j’ai fait des essais artisanaux dans mes films qui vont du 16mm archaïque à une image numérique qui transpire les couleurs de la nuit, mise en valeur par une photographie pleine de petites astuces et un montage qui expérimente.

    Par ailleurs ce qui m’a aussi guidé jusqu’ici, c’est le jeu des contraintes : savoir mettre à profit ses possibilités et ses opportunités, déterminer ses points de forces et de faiblesses, afin de réaliser l’équation des bons choix, en cohérence avec un faible budget. Tout cela dans le but d’appréhender une forme de complexité, qui jusqu’ici m’a imposé de garder les mêmes idées pendant des productions qui s’étalaient sur deux ans. Et cela me convainc que c’est le meilleur exercice pour éprouver mes propos : avoir un film qui se modifie durant de longues périodes mais dont les intentions perdurent. 

    Mise en scène

    En ce qui concerne la mise en scène de mes trois réalisations :

    -Mash Up (avec Jean Schatz, Céline Beutels) ;

    -Le Dernier Nerf (avec le Collectif Ulcère : Hélène Philippe, Geoffrey Tiquet, Nina Eeklaer) ;

    -Up Above My Head (avec Léa Dedeurwaerder, Barthélémy Huet) ;

    sur celles-ci, j’ai travaillé avec des comédiens d’horizons différents et avec des démarches différentes. Ça va de l’acteur non professionnel qui joue son propre rôle, à Léa qui enseigne l’improvisation ou encore, le Collectif « Ulcère » issu du Conservatoire de Bruxelles.

    Avec ces diverses expériences, j’en ai déduit une méthode de mise en scène qui me convient et qui me met dans de bonnes conditions. J’aime l’idée que l’acteur est un artiste qui doit s’approprier et adapter à sa convenance son personnage. Ce qui implique, d’écrire des rôles profonds mais adaptables en fonction de qui l’incarne ; c’est un aspect de mon travail que je tends à perfectionner. J’aime cette idée de ne pas s’enfermer dans un rôle tel qu’on l’a imaginé, mais d’ouvrir le champ des possibles dans une démarche collaborative avec le comédien. Pour autant mon style nécessite des « gueules » pour des rôles plus silencieux et je ne rechine pas d’aller vers cette forme d’authenticité bien au contraire.

    Le Dernier Nerf, 2023, 35min

    Une adaptation d’un projet théâtral d’Hélène Philippe. L’idée derrière ce film est de tracer la cartographie du « voyage intérieur », allant du rêve à la paranoïa.

    Hélène répète une pièce de théâtre loufoque, dans laquelle elle entre en dialogue avec son ulcère, l’ulcère lui-même étant interprété par une comédienne derrière un rideau. Ce dialogue intérieur sur scène ouvre la boîte de pandore, Hélène se lance dans un long périple intérieur voyageant d’un songe à l’autre sur sa vie, sa seule prise avec le présent : la répétition de la pièce. Dans ce périple intérieur, le film nous présente plusieurs réalités qui chantent ensemble de manière polyphonique. A l’instar de la musique d’un monde intérieur qui se raconte à lui-même, jusqu’à ne plus savoir si la vie est un rêve ou si les rêves mis bout à bout, forment sa vie ? Mais Hélène reviendra-elle de ce voyage ?

    Up Above My Head, 2024, 30min

    C’est l’histoire d’une rencontre entre un garçon qui a perdu son ombre et d’une fille perdue autant dans sa vie que dans la ville. Ils décident de partir ensemble à la recherche de leurs chemins.

    Bart est un jeune en errance avec plein d’idées dans la tête, Il a ses petites manies et des idées bien précises sur tout. Un jour, il croise le chemin de Léa, une étudiante paumée dans Bruxelles la nuit, qui a raté son dernier train. En attendant le matin, Léa pourrait aller à une fête où elle est invitée, mais elle tombe sous le charme de Bart, après plusieurs longues discussions où ils refont le monde à deux.  Léa se sent en sécurité avec lui, elle prend la décision de cheminer le long des rues, en sa compagnie, jusqu’au matin. Par hasard, Léa recroise ses amis dans un night shop. Ils leur proposent de retourner à la fête avec eux, mais Bart ne semble pas le bienvenu. Léa est alors dans l’hésitation de le suivre ou de rester avec ses amis.

    Mash Up, 2022, 23min

    Est une interprétation des fleurs du mal, ramenée à notre époque. Il s’agit d’un projet semi-expérimental, nous amenant au bout de la nuit en compagnie du fantôme de Baudelaire.

    Il est minuit passé, Céline vient de rater son dernier train. Bloquée dans un Bruxelles brumeux, sombre, elle tente de trouver un taxi sans succès. Elle marche alors dans des quartiers vides et glauques. Mais très vite elle se sent suivie, elle essaye de semer une silhouette inquiétante qui en accélérant, finit par la rattraper. Il s’agit d’un jeune homme juste un peu étrange. Il voulait entrer en contact avec elle, mais d’une manière maladroite. La jeune femme va passer toute la nuit dans cette ville vide et dans une ambiance baudelairienne, avec ce personnage aux attitudes qui deviennent de plus en plus inexplicables.

    Futurs Projets

    « Inside The Box » (dossier sur demande)

    Il est compliqué de mettre une image sur le psychisme humain.

    Dans ce huis clos explosif et déjanté, Hélène, une avocate réputée et star de son cabinet, a bâti sa réussite en ayant tout contrôle sur sa vie. Pourtant elle traverse une phase à vide. A quoi bon cette course à l’argent et au carriérisme? Alors que les petites choses simples, lui apportent autant de plénitude.

    Imaginez-vous à sa place, vous quittez votre job, vous plaquez absolument tout pour une petite vie sans vague, sans tracas ; au programme : relaxation et « Netflix and chill ».

    Mais soudain, 7 colocataires s’invitent dans votre intimité : vos dieux, source de toute satisfaction, mais aussi vos démons, ayant toute emprise sur vous… Qui sont-ils? Des substances secrétées par votre cerveau.

    Hélène a fait ce choix, vivre dans sa boîte et s’enfermer des jours durant, face à la télé, face à elle-même. Tels Blanche-Neige et ses sept nains, elle est accompagnée par l’ange Dopamine, le saint GABA, le tout-puissant Glutamate, sans oublier tous les autres, …

    Si au début, la colonie fonctionne en autarcie sous le plan du grand architecte Sérotonine, très vite les passions des uns et des autres dégénèrent. Tous sont en concurrence pour devenir le meilleur ami d’Hélène, mais leurs désirs d’exclusivité provoquent la perte de contrôle de sa psyché. Un seul pourra régner en maître.

    Hélène dépassée par ces démons, admettra-t-elle qu’elle a perdu le contrôle de sa vie, au risque de se détruire elle-même?

    Direction Photo

    Commandes Vidéo

    Contact

    Maxime Bertiaux

    bertiaux.maxime@outlook.com

    https://www.instagram.com/maximebertiaux

  • Mon parcours

    Je me présente : je m’appelle Maxime Bertiaux, je suis principalement auteur-réalisateur. Je suis diplômé de l’INRACI en techniques cinématographiques.

    Il y a un commencement à tout, j’ai travaillé durant et après mes études, sur des tournages.

    Animé d’une véritable passion pour la direction photo, je suis l’heureux propriétaire d’une ARRI ALEXA. Avec cette caméra, j’apporte mon concours à des projets indépendants. Je suis aussi photographe et vidéaste à mes heures. Vous l’aurez compris, je suis dans l’image.

    Durant les tournages de plusieurs longs-métrages sur lesquels j’ai travaillé, un feu couvait en moi depuis toujours : celui de la réalisation. En 2019, je passe à l’action et me lance dans l’écriture et la réalisation de mon premier court-métrage indépendant « Mash Up » (Prix du meilleur film au Liverpool Underground Festival). Puis s’en est suivi « Le Dernier Nerf », pour lequel j’ai reçu l’aide du Théâtre de la Fédération Wallonie Bruxelles. Plus récemment, je viens d’achever « Up Above My Head ». 

    Qui suis-je ?

    S’il fallait commencer par un « Il était une fois » … un petit garçon naufragé du monde de l’imaginaire qui passait son temps à se raconter des histoires à lui-même, bercé par la lumière de l’aube qui se dessinait entre les arbres de son jardin, comme un jeu d’ombre et de clarté sur un écran. Son imaginaire s’est construit sur des images étranges, venues d’un autre temps. Il était alors fasciné par les ombres surannées des films muets des années 20 qui se mouvaient sur l’écran, par ces couleurs pastel des années 40 ou même par la vigueur et la force d’un Terrence Malick ou d’un Michael Cimino des années 70.

    Le petit garçon a grandi… Une question me revenait sans cesse : tout cela a-t-il vraiment existé ? Ces images du passé, qui m’avaient forgé, me semblaient trop irréelles par rapport à la réalité que je connaissais. Ce questionnement ouvrit en moi ce que je qualifiais de jeu de cache-cache avec le temps, qui est devenu un jeu de cache-cache avec la réalité nourrissant mon inspiration. Nous avons tous notre histoire personnelle avec ce grand tour de magie qu’est le cinéma et la mienne, est celle d’une réalité qui se déforme et qui se métamorphose, je pourrais en parler pendant des heures. 

    Ma démarche

    Je me suis promis de faire des films, en transposant les émotions de ma jeune cinéphilie. Pour ainsi mettre en exergue des questionnements que j’avais sur moi-même et ma vision de la réalité que je tends à rendre singulière.

    Mes deux premiers courts-métrages, ont été la première phase de mon apprentissage de réalisateur. Ce jeu de cache-cache avec le temps a guidé mes intentions, mon rythme et mon travail de montage. Dans ma démarche, il n’y a pas de choix standardisé pour l’image, j’ai fait des essais artisanaux dans mes films qui vont du 16mm archaïque à une image numérique qui transpire les couleurs de la nuit, mise en valeur par une photographie pleine de petites astuces et un montage qui expérimente.

    Par ailleurs ce qui m’a aussi guidé jusqu’ici, c’est le jeu des contraintes : savoir mettre à profit ses possibilités et ses opportunités, déterminer ses points de forces et de faiblesses, afin de réaliser l’équation des bons choix, en cohérence avec un faible budget. Tout cela dans le but d’appréhender une forme de complexité, qui jusqu’ici m’a imposé de garder les mêmes idées pendant des productions qui s’étalaient sur deux ans. Et cela me convainc que c’est le meilleur exercice pour éprouver mes propos : avoir un film qui se modifie durant de longues périodes mais dont les intentions perdurent. 

    Mise en scène

    En ce qui concerne la mise en scène de mes trois réalisations :

    -Mash Up (avec Jean Schatz, Céline Beutels) ;

    -Le Dernier Nerf (avec le Collectif Ulcère : Hélène Philippe, Geoffrey Tiquet, Nina Eeklaer) ;

    -Up Above My Head (avec Léa Dedeurwaerder, Barthélémy Huet) ;

    sur celles-ci, j’ai travaillé avec des comédiens d’horizons différents et avec des démarches différentes. Ça va de l’acteur non professionnel qui joue son propre rôle, à Léa qui enseigne l’improvisation ou encore, le Collectif « Ulcère » issu du Conservatoire de Bruxelles.

    Avec ces diverses expériences, j’en ai déduit une méthode de mise en scène qui me convient et qui me met dans de bonnes conditions. J’aime l’idée que l’acteur est un artiste qui doit s’approprier et adapter à sa convenance son personnage. Ce qui implique, d’écrire des rôles profonds mais adaptables en fonction de qui l’incarne ; c’est un aspect de mon travail que je tends à perfectionner. J’aime cette idée de ne pas s’enfermer dans un rôle tel qu’on l’a imaginé, mais d’ouvrir le champ des possibles dans une démarche collaborative avec le comédien. Pour autant mon style nécessite des « gueules » pour des rôles plus silencieux et je ne rechine pas d’aller vers cette forme d’authenticité bien au contraire.

    Le Dernier Nerf, 2023, 35min

    Une adaptation d’un projet théâtral d’Hélène Philippe. L’idée derrière ce film est de tracer la cartographie du « voyage intérieur », allant du rêve à la paranoïa.

    Hélène répète une pièce de théâtre loufoque, dans laquelle elle entre en dialogue avec son ulcère, l’ulcère lui-même étant interprété par une comédienne derrière un rideau. Ce dialogue intérieur sur scène ouvre la boîte de pandore, Hélène se lance dans un long périple intérieur voyageant d’un songe à l’autre sur sa vie, sa seule prise avec le présent : la répétition de la pièce. Dans ce périple intérieur, le film nous présente plusieurs réalités qui chantent ensemble de manière polyphonique. A l’instar de la musique d’un monde intérieur qui se raconte à lui-même, jusqu’à ne plus savoir si la vie est un rêve ou si les rêves mis bout à bout, forment sa vie ? Mais Hélène reviendra-elle de ce voyage ?

    Up Above My Head, 2024, 30min

    C’est l’histoire d’une rencontre entre un garçon qui a perdu son ombre et d’une fille perdue autant dans sa vie que dans la ville. Ils décident de partir ensemble à la recherche de leurs chemins.

    Bart est un jeune en errance avec plein d’idées dans la tête, Il a ses petites manies et des idées bien précises sur tout. Un jour, il croise le chemin de Léa, une étudiante paumée dans Bruxelles la nuit, qui a raté son dernier train. En attendant le matin, Léa pourrait aller à une fête où elle est invitée, mais elle tombe sous le charme de Bart, après plusieurs longues discussions où ils refont le monde à deux.  Léa se sent en sécurité avec lui, elle prend la décision de cheminer le long des rues, en sa compagnie, jusqu’au matin. Par hasard, Léa recroise ses amis dans un night shop. Ils leur proposent de retourner à la fête avec eux, mais Bart ne semble pas le bienvenu. Léa est alors dans l’hésitation de le suivre ou de rester avec ses amis.

    Mash Up, 2022, 23min

    Est une interprétation des fleurs du mal, ramenée à notre époque. Il s’agit d’un projet semi-expérimental, nous amenant au bout de la nuit en compagnie du fantôme de Baudelaire.

    Il est minuit passé, Céline vient de rater son dernier train. Bloquée dans un Bruxelles brumeux, sombre, elle tente de trouver un taxi sans succès. Elle marche alors dans des quartiers vides et glauques. Mais très vite elle se sent suivie, elle essaye de semer une silhouette inquiétante qui en accélérant, finit par la rattraper. Il s’agit d’un jeune homme juste un peu étrange. Il voulait entrer en contact avec elle, mais d’une manière maladroite. La jeune femme va passer toute la nuit dans cette ville vide et dans une ambiance baudelairienne, avec ce personnage aux attitudes qui deviennent de plus en plus inexplicables.

    Futurs Projets

    « Inside The Box » (dossier sur demande)

    Il est compliqué de mettre une image sur le psychisme humain.

    Dans ce huis clos explosif et déjanté, Hélène, une avocate réputée et star de son cabinet, a bâti sa réussite en ayant tout contrôle sur sa vie. Pourtant elle traverse une phase à vide. A quoi bon cette course à l’argent et au carriérisme? Alors que les petites choses simples, lui apportent autant de plénitude.

    Imaginez-vous à sa place, vous quittez votre job, vous plaquez absolument tout pour une petite vie sans vague, sans tracas ; au programme : relaxation et « Netflix and chill ».

    Mais soudain, 7 colocataires s’invitent dans votre intimité : vos dieux, source de toute satisfaction, mais aussi vos démons, ayant toute emprise sur vous… Qui sont-ils? Des substances secrétées par votre cerveau.

    Hélène a fait ce choix, vivre dans sa boîte et s’enfermer des jours durant, face à la télé, face à elle-même. Tels Blanche-Neige et ses sept nains, elle est accompagnée par l’ange Dopamine, le saint GABA, le tout-puissant Glutamate, sans oublier tous les autres, …

    Si au début, la colonie fonctionne en autarcie sous le plan du grand architecte Sérotonine, très vite les passions des uns et des autres dégénèrent. Tous sont en concurrence pour devenir le meilleur ami d’Hélène, mais leurs désirs d’exclusivité provoquent la perte de contrôle de sa psyché. Un seul pourra régner en maître.

    Hélène dépassée par ces démons, admettra-t-elle qu’elle a perdu le contrôle de sa vie, au risque de se détruire elle-même?

    Direction Photo

    Commandes Vidéo

    Contact

    Maxime Bertiaux

    bertiaux.maxime@outlook.com

    https://www.instagram.com/maximebertiaux

  • Mon parcours

    Je me présente : je m’appelle Maxime Bertiaux, je suis principalement auteur-réalisateur. Je suis diplômé de l’INRACI en techniques cinématographiques.

    Il y a un commencement à tout, j’ai travaillé durant et après mes études, sur des tournages.

    Animé d’une véritable passion pour la direction photo, je suis l’heureux propriétaire d’une ARRI ALEXA. Avec cette caméra, j’apporte mon concours à des projets indépendants. Je suis aussi photographe et vidéaste à mes heures. Vous l’aurez compris, je suis dans l’image.

    Durant les tournages de plusieurs longs-métrages sur lesquels j’ai travaillé, un feu couvait en moi depuis toujours : celui de la réalisation. En 2019, je passe à l’action et me lance dans l’écriture et la réalisation de mon premier court-métrage indépendant « Mash Up » (Prix du meilleur film au Liverpool Underground Festival). Puis s’en est suivi « Le Dernier Nerf », pour lequel j’ai reçu l’aide du Théâtre de la Fédération Wallonie Bruxelles. Plus récemment, je viens d’achever « Up Above My Head ». 

    Qui suis-je ?

    S’il fallait commencer par un « Il était une fois » … un petit garçon naufragé du monde de l’imaginaire qui passait son temps à se raconter des histoires à lui-même, bercé par la lumière de l’aube qui se dessinait entre les arbres de son jardin, comme un jeu d’ombre et de clarté sur un écran. Son imaginaire s’est construit sur des images étranges, venues d’un autre temps. Il était alors fasciné par les ombres surannées des films muets des années 20 qui se mouvaient sur l’écran, par ces couleurs pastel des années 40 ou même par la vigueur et la force d’un Terrence Malick ou d’un Michael Cimino des années 70.

    Le petit garçon a grandi… Une question me revenait sans cesse : tout cela a-t-il vraiment existé ? Ces images du passé, qui m’avaient forgé, me semblaient trop irréelles par rapport à la réalité que je connaissais. Ce questionnement ouvrit en moi ce que je qualifiais de jeu de cache-cache avec le temps, qui est devenu un jeu de cache-cache avec la réalité nourrissant mon inspiration. Nous avons tous notre histoire personnelle avec ce grand tour de magie qu’est le cinéma et la mienne, est celle d’une réalité qui se déforme et qui se métamorphose, je pourrais en parler pendant des heures. 

    Ma démarche

    Je me suis promis de faire des films, en transposant les émotions de ma jeune cinéphilie. Pour ainsi mettre en exergue des questionnements que j’avais sur moi-même et ma vision de la réalité que je tends à rendre singulière.

    Mes deux premiers courts-métrages, ont été la première phase de mon apprentissage de réalisateur. Ce jeu de cache-cache avec le temps a guidé mes intentions, mon rythme et mon travail de montage. Dans ma démarche, il n’y a pas de choix standardisé pour l’image, j’ai fait des essais artisanaux dans mes films qui vont du 16mm archaïque à une image numérique qui transpire les couleurs de la nuit, mise en valeur par une photographie pleine de petites astuces et un montage qui expérimente.

    Par ailleurs ce qui m’a aussi guidé jusqu’ici, c’est le jeu des contraintes : savoir mettre à profit ses possibilités et ses opportunités, déterminer ses points de forces et de faiblesses, afin de réaliser l’équation des bons choix, en cohérence avec un faible budget. Tout cela dans le but d’appréhender une forme de complexité, qui jusqu’ici m’a imposé de garder les mêmes idées pendant des productions qui s’étalaient sur deux ans. Et cela me convainc que c’est le meilleur exercice pour éprouver mes propos : avoir un film qui se modifie durant de longues périodes mais dont les intentions perdurent. 

    Mise en scène

    En ce qui concerne la mise en scène de mes trois réalisations :

    -Mash Up (avec Jean Schatz, Céline Beutels) ;

    -Le Dernier Nerf (avec le Collectif Ulcère : Hélène Philippe, Geoffrey Tiquet, Nina Eeklaer) ;

    -Up Above My Head (avec Léa Dedeurwaerder, Barthélémy Huet) ;

    sur celles-ci, j’ai travaillé avec des comédiens d’horizons différents et avec des démarches différentes. Ça va de l’acteur non professionnel qui joue son propre rôle, à Léa qui enseigne l’improvisation ou encore, le Collectif « Ulcère » issu du Conservatoire de Bruxelles.

    Avec ces diverses expériences, j’en ai déduit une méthode de mise en scène qui me convient et qui me met dans de bonnes conditions. J’aime l’idée que l’acteur est un artiste qui doit s’approprier et adapter à sa convenance son personnage. Ce qui implique, d’écrire des rôles profonds mais adaptables en fonction de qui l’incarne ; c’est un aspect de mon travail que je tends à perfectionner. J’aime cette idée de ne pas s’enfermer dans un rôle tel qu’on l’a imaginé, mais d’ouvrir le champ des possibles dans une démarche collaborative avec le comédien. Pour autant mon style nécessite des « gueules » pour des rôles plus silencieux et je ne rechine pas d’aller vers cette forme d’authenticité bien au contraire.

    Le Dernier Nerf, 2023, 35min

    Une adaptation d’un projet théâtral d’Hélène Philippe. L’idée derrière ce film est de tracer la cartographie du « voyage intérieur », allant du rêve à la paranoïa.

    Hélène répète une pièce de théâtre loufoque, dans laquelle elle entre en dialogue avec son ulcère, l’ulcère lui-même étant interprété par une comédienne derrière un rideau. Ce dialogue intérieur sur scène ouvre la boîte de pandore, Hélène se lance dans un long périple intérieur voyageant d’un songe à l’autre sur sa vie, sa seule prise avec le présent : la répétition de la pièce. Dans ce périple intérieur, le film nous présente plusieurs réalités qui chantent ensemble de manière polyphonique. A l’instar de la musique d’un monde intérieur qui se raconte à lui-même, jusqu’à ne plus savoir si la vie est un rêve ou si les rêves mis bout à bout, forment sa vie ? Mais Hélène reviendra-elle de ce voyage ?

    Up Above My Head, 2024, 30min

    C’est l’histoire d’une rencontre entre un garçon qui a perdu son ombre et d’une fille perdue autant dans sa vie que dans la ville. Ils décident de partir ensemble à la recherche de leurs chemins.

    Bart est un jeune en errance avec plein d’idées dans la tête, Il a ses petites manies et des idées bien précises sur tout. Un jour, il croise le chemin de Léa, une étudiante paumée dans Bruxelles la nuit, qui a raté son dernier train. En attendant le matin, Léa pourrait aller à une fête où elle est invitée, mais elle tombe sous le charme de Bart, après plusieurs longues discussions où ils refont le monde à deux.  Léa se sent en sécurité avec lui, elle prend la décision de cheminer le long des rues, en sa compagnie, jusqu’au matin. Par hasard, Léa recroise ses amis dans un night shop. Ils leur proposent de retourner à la fête avec eux, mais Bart ne semble pas le bienvenu. Léa est alors dans l’hésitation de le suivre ou de rester avec ses amis.

    Mash Up, 2022, 23min

    Est une interprétation des fleurs du mal, ramenée à notre époque. Il s’agit d’un projet semi-expérimental, nous amenant au bout de la nuit en compagnie du fantôme de Baudelaire.

    Il est minuit passé, Céline vient de rater son dernier train. Bloquée dans un Bruxelles brumeux, sombre, elle tente de trouver un taxi sans succès. Elle marche alors dans des quartiers vides et glauques. Mais très vite elle se sent suivie, elle essaye de semer une silhouette inquiétante qui en accélérant, finit par la rattraper. Il s’agit d’un jeune homme juste un peu étrange. Il voulait entrer en contact avec elle, mais d’une manière maladroite. La jeune femme va passer toute la nuit dans cette ville vide et dans une ambiance baudelairienne, avec ce personnage aux attitudes qui deviennent de plus en plus inexplicables.

    Futurs Projets

    « Inside The Box » (dossier sur demande)

    Il est compliqué de mettre une image sur le psychisme humain.

    Dans ce huis clos explosif et déjanté, Hélène, une avocate réputée et star de son cabinet, a bâti sa réussite en ayant tout contrôle sur sa vie. Pourtant elle traverse une phase à vide. A quoi bon cette course à l’argent et au carriérisme? Alors que les petites choses simples, lui apportent autant de plénitude.

    Imaginez-vous à sa place, vous quittez votre job, vous plaquez absolument tout pour une petite vie sans vague, sans tracas ; au programme : relaxation et « Netflix and chill ».

    Mais soudain, 7 colocataires s’invitent dans votre intimité : vos dieux, source de toute satisfaction, mais aussi vos démons, ayant toute emprise sur vous… Qui sont-ils? Des substances secrétées par votre cerveau.

    Hélène a fait ce choix, vivre dans sa boîte et s’enfermer des jours durant, face à la télé, face à elle-même. Tels Blanche-Neige et ses sept nains, elle est accompagnée par l’ange Dopamine, le saint GABA, le tout-puissant Glutamate, sans oublier tous les autres, …

    Si au début, la colonie fonctionne en autarcie sous le plan du grand architecte Sérotonine, très vite les passions des uns et des autres dégénèrent. Tous sont en concurrence pour devenir le meilleur ami d’Hélène, mais leurs désirs d’exclusivité provoquent la perte de contrôle de sa psyché. Un seul pourra régner en maître.

    Hélène dépassée par ces démons, admettra-t-elle qu’elle a perdu le contrôle de sa vie, au risque de se détruire elle-même?

    Direction Photo

    Commandes Vidéo

    Contact

    Maxime Bertiaux

    bertiaux.maxime@outlook.com

    https://www.instagram.com/maximebertiaux

  • Mon parcours

    Je me présente : je m’appelle Maxime Bertiaux, je suis principalement auteur-réalisateur. Je suis diplômé de l’INRACI en techniques cinématographiques.

    Il y a un commencement à tout, j’ai travaillé durant et après mes études, sur des tournages.

    Animé d’une véritable passion pour la direction photo, je suis l’heureux propriétaire d’une ARRI ALEXA. Avec cette caméra, j’apporte mon concours à des projets indépendants. Je suis aussi photographe et vidéaste à mes heures. Vous l’aurez compris, je suis dans l’image.

    Durant les tournages de plusieurs longs-métrages sur lesquels j’ai travaillé, un feu couvait en moi depuis toujours : celui de la réalisation. En 2019, je passe à l’action et me lance dans l’écriture et la réalisation de mon premier court-métrage indépendant « Mash Up » (Prix du meilleur film au Liverpool Underground Festival). Puis s’en est suivi « Le Dernier Nerf », pour lequel j’ai reçu l’aide du Théâtre de la Fédération Wallonie Bruxelles. Plus récemment, je viens d’achever « Up Above My Head ». 

    Qui suis-je ?

    S’il fallait commencer par un « Il était une fois » … un petit garçon naufragé du monde de l’imaginaire qui passait son temps à se raconter des histoires à lui-même, bercé par la lumière de l’aube qui se dessinait entre les arbres de son jardin, comme un jeu d’ombre et de clarté sur un écran. Son imaginaire s’est construit sur des images étranges, venues d’un autre temps. Il était alors fasciné par les ombres surannées des films muets des années 20 qui se mouvaient sur l’écran, par ces couleurs pastel des années 40 ou même par la vigueur et la force d’un Terrence Malick ou d’un Michael Cimino des années 70.

    Le petit garçon a grandi… Une question me revenait sans cesse : tout cela a-t-il vraiment existé ? Ces images du passé, qui m’avaient forgé, me semblaient trop irréelles par rapport à la réalité que je connaissais. Ce questionnement ouvrit en moi ce que je qualifiais de jeu de cache-cache avec le temps, qui est devenu un jeu de cache-cache avec la réalité nourrissant mon inspiration. Nous avons tous notre histoire personnelle avec ce grand tour de magie qu’est le cinéma et la mienne, est celle d’une réalité qui se déforme et qui se métamorphose, je pourrais en parler pendant des heures. 

    Ma démarche

    Je me suis promis de faire des films, en transposant les émotions de ma jeune cinéphilie. Pour ainsi mettre en exergue des questionnements que j’avais sur moi-même et ma vision de la réalité que je tends à rendre singulière.

    Mes deux premiers courts-métrages, ont été la première phase de mon apprentissage de réalisateur. Ce jeu de cache-cache avec le temps a guidé mes intentions, mon rythme et mon travail de montage. Dans ma démarche, il n’y a pas de choix standardisé pour l’image, j’ai fait des essais artisanaux dans mes films qui vont du 16mm archaïque à une image numérique qui transpire les couleurs de la nuit, mise en valeur par une photographie pleine de petites astuces et un montage qui expérimente.

    Par ailleurs ce qui m’a aussi guidé jusqu’ici, c’est le jeu des contraintes : savoir mettre à profit ses possibilités et ses opportunités, déterminer ses points de forces et de faiblesses, afin de réaliser l’équation des bons choix, en cohérence avec un faible budget. Tout cela dans le but d’appréhender une forme de complexité, qui jusqu’ici m’a imposé de garder les mêmes idées pendant des productions qui s’étalaient sur deux ans. Et cela me convainc que c’est le meilleur exercice pour éprouver mes propos : avoir un film qui se modifie durant de longues périodes mais dont les intentions perdurent. 

    Mise en scène

    En ce qui concerne la mise en scène de mes trois réalisations :

    -Mash Up (avec Jean Schatz, Céline Beutels) ;

    -Le Dernier Nerf (avec le Collectif Ulcère : Hélène Philippe, Geoffrey Tiquet, Nina Eeklaer) ;

    -Up Above My Head (avec Léa Dedeurwaerder, Barthélémy Huet) ;

    sur celles-ci, j’ai travaillé avec des comédiens d’horizons différents et avec des démarches différentes. Ça va de l’acteur non professionnel qui joue son propre rôle, à Léa qui enseigne l’improvisation ou encore, le Collectif « Ulcère » issu du Conservatoire de Bruxelles.

    Avec ces diverses expériences, j’en ai déduit une méthode de mise en scène qui me convient et qui me met dans de bonnes conditions. J’aime l’idée que l’acteur est un artiste qui doit s’approprier et adapter à sa convenance son personnage. Ce qui implique, d’écrire des rôles profonds mais adaptables en fonction de qui l’incarne ; c’est un aspect de mon travail que je tends à perfectionner. J’aime cette idée de ne pas s’enfermer dans un rôle tel qu’on l’a imaginé, mais d’ouvrir le champ des possibles dans une démarche collaborative avec le comédien. Pour autant mon style nécessite des « gueules » pour des rôles plus silencieux et je ne rechine pas d’aller vers cette forme d’authenticité bien au contraire.

    Le Dernier Nerf, 2023, 35min

    Une adaptation d’un projet théâtral d’Hélène Philippe. L’idée derrière ce film est de tracer la cartographie du « voyage intérieur », allant du rêve à la paranoïa.

    Hélène répète une pièce de théâtre loufoque, dans laquelle elle entre en dialogue avec son ulcère, l’ulcère lui-même étant interprété par une comédienne derrière un rideau. Ce dialogue intérieur sur scène ouvre la boîte de pandore, Hélène se lance dans un long périple intérieur voyageant d’un songe à l’autre sur sa vie, sa seule prise avec le présent : la répétition de la pièce. Dans ce périple intérieur, le film nous présente plusieurs réalités qui chantent ensemble de manière polyphonique. A l’instar de la musique d’un monde intérieur qui se raconte à lui-même, jusqu’à ne plus savoir si la vie est un rêve ou si les rêves mis bout à bout, forment sa vie ? Mais Hélène reviendra-elle de ce voyage ?

    Up Above My Head, 2024, 30min

    C’est l’histoire d’une rencontre entre un garçon qui a perdu son ombre et d’une fille perdue autant dans sa vie que dans la ville. Ils décident de partir ensemble à la recherche de leurs chemins.

    Bart est un jeune en errance avec plein d’idées dans la tête, Il a ses petites manies et des idées bien précises sur tout. Un jour, il croise le chemin de Léa, une étudiante paumée dans Bruxelles la nuit, qui a raté son dernier train. En attendant le matin, Léa pourrait aller à une fête où elle est invitée, mais elle tombe sous le charme de Bart, après plusieurs longues discussions où ils refont le monde à deux.  Léa se sent en sécurité avec lui, elle prend la décision de cheminer le long des rues, en sa compagnie, jusqu’au matin. Par hasard, Léa recroise ses amis dans un night shop. Ils leur proposent de retourner à la fête avec eux, mais Bart ne semble pas le bienvenu. Léa est alors dans l’hésitation de le suivre ou de rester avec ses amis.

    Mash Up, 2022, 23min

    Est une interprétation des fleurs du mal, ramenée à notre époque. Il s’agit d’un projet semi-expérimental, nous amenant au bout de la nuit en compagnie du fantôme de Baudelaire.

    Il est minuit passé, Céline vient de rater son dernier train. Bloquée dans un Bruxelles brumeux, sombre, elle tente de trouver un taxi sans succès. Elle marche alors dans des quartiers vides et glauques. Mais très vite elle se sent suivie, elle essaye de semer une silhouette inquiétante qui en accélérant, finit par la rattraper. Il s’agit d’un jeune homme juste un peu étrange. Il voulait entrer en contact avec elle, mais d’une manière maladroite. La jeune femme va passer toute la nuit dans cette ville vide et dans une ambiance baudelairienne, avec ce personnage aux attitudes qui deviennent de plus en plus inexplicables.

    Futurs Projets

    « Inside The Box » (dossier sur demande)

    Il est compliqué de mettre une image sur le psychisme humain.

    Dans ce huis clos explosif et déjanté, Hélène, une avocate réputée et star de son cabinet, a bâti sa réussite en ayant tout contrôle sur sa vie. Pourtant elle traverse une phase à vide. A quoi bon cette course à l’argent et au carriérisme? Alors que les petites choses simples, lui apportent autant de plénitude.

    Imaginez-vous à sa place, vous quittez votre job, vous plaquez absolument tout pour une petite vie sans vague, sans tracas ; au programme : relaxation et « Netflix and chill ».

    Mais soudain, 7 colocataires s’invitent dans votre intimité : vos dieux, source de toute satisfaction, mais aussi vos démons, ayant toute emprise sur vous… Qui sont-ils? Des substances secrétées par votre cerveau.

    Hélène a fait ce choix, vivre dans sa boîte et s’enfermer des jours durant, face à la télé, face à elle-même. Tels Blanche-Neige et ses sept nains, elle est accompagnée par l’ange Dopamine, le saint GABA, le tout-puissant Glutamate, sans oublier tous les autres, …

    Si au début, la colonie fonctionne en autarcie sous le plan du grand architecte Sérotonine, très vite les passions des uns et des autres dégénèrent. Tous sont en concurrence pour devenir le meilleur ami d’Hélène, mais leurs désirs d’exclusivité provoquent la perte de contrôle de sa psyché. Un seul pourra régner en maître.

    Hélène dépassée par ces démons, admettra-t-elle qu’elle a perdu le contrôle de sa vie, au risque de se détruire elle-même?

    Direction Photo

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    bertiaux.maxime@outlook.com

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